Dans le détail, 22 % des sondés considèrent que c’est une "très mauvaise chose" et 30 % une "assez mauvaise chose". A l’inverse, 48 % pensent que cette élection est une "bonne chose" (13 % une "très bonne chose", 35 % une "assez bonne chose"), selon ce sondage, réalisé pour Radio Classique et Les Echos.
65 % des personnes interrogées se disent "favorables" à l’action de M. Macron en faveur de "la place de la France sur la scène internationale" et 55 % à sa "façon d’incarner la fonction présidentielle". La moralisation de la vie politique est aussi accueillie favorablement par 59 % des sondés, de même que la nomination de ministres issus de la société civile (65 %).
Une courte majorité (51 %) pense toutefois que le président de la République n’a pas "transformé la façon de faire de la politique", contre 48 % qui pensent le contraire. 20 % des sondés s’attendent à ce que M. Macron ait "transformé le pays en profondeur" à la fin de son quinquennat, contre 57 % qui misent sur le fait qu’il en "modifie quelques aspects seulement" et 22 % qui sont convaincus qu’il "n’aura pas changé le pays".
42 % jugent que l’action du président aura permis en 2022, à la fin de son quinquennat, "d’améliorer la situation du pays" (58 % non) et 19 % leur "situation personnelle (81 % non).
Seuls 39 % des sondés se disent favorables à son action en matière de "politique sociale", contre 61 % opposés.
Sondage réalisé par internet du 6 au 9 avril auprès d’un échantillon de 1.002 personnes de plus de 18 ans (méthode des quotas).