Tepco, qui s’est dit incapable de juger si ladite eau s’écoule ou non en mer, a mesuré un niveau de 3.000 becquerels par litre pour les éléments radioactifs produisant des rayons béta, comme le strontium 90, dans le liquide extrait vendredi dernier d’un nouveau point de prélèvement situé entre les réacteurs et la mer.
Ce niveau est plusieurs dizaines de fois supérieur à la dose limite admise pour de l’eau de mer. La centrale Fukushima Daiichi a été ravagée par le séisme et le tsunami du 11 mars 2011 dans le nord-est de l’archipel.