"Nous ne cherchons pas un soutien armé, nous avons besoin d’une aide humanitaire et diplomatique", a déclaré mardi au quotidien français ‘Le Figaro’ le ministre du Pétrole, Mashala S. Agoub Saïd, dont le gouvernement est appuyé par la coalition de milices Fajr Libya, parmi lesquelles certaines sont islamistes.
Le gouvernement libyen installé à Tripoli, non reconnu par la communauté internationale, demande aux Européens de lui fournir une "assistance technique" dans la lutte contre le trafic de migrants et d’aider au "dialogue" avec le gouvernement rival de Tobrouk (est).
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