Un médecin de cet institut ayant requis l’anonymat a expliqué que la malformation dont souffre le nouveau-né était le résultat d’une maladie génétique affectant un bébé sur un million ou plus.
"Les médecins examinent l’enfant afin de déterminer le traitement nécessaire pour sauver la vie du bébé et lui assurer une vie normale", est-il écrit dans un communiqué des services régionaux de santé.