Le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, s’est engagé mercredi à présenter "de nouvelles propositions concrètes de réformes crédibles" jeudi, comme le lui réclame la zone euro pour maintenir le pays à flot et en son sein.
S’exprimant devant le Parlement européen au lendemain d’un ultimatum adressé par ses créanciers, il a toutefois insisté qu’un accord devait être "socialement juste et économiquement viable", tout en démentant "tout plan secret" pour faire sortir la Grèce de l’euro.
Le président du Conseil européen, Donald Tusk, a affirmé que les créanciers de la Grèce devraient faire des propositions "réalistes" sur la dette grecque en contrepartie des propositions attendues de la part d’Athènes ce jeudi avant minuit.