"Si, depuis de nombreux mois, plusieurs groupes nationaux et internationaux m’ont contacté, notamment afin d’apporter mon analyse de manière informelle sur leurs évolutions et leurs métiers – ce fut notamment le cas, récemment pour Veolia, ni plus ni moins -, tout le reste n’est que supputations, manipulations, voire volonté de nuire", a assuré le président du Parti radical dans une déclaration à l’AFP.
L’information avait provoqué une bronca dans l’opposition. Mais Jean-Louis Borloo a démenti lundi les rumeurs le présentant comme le possible successeur d’Antoine Frérot à la tête de Veolia. Malgré tout, l’ancien ministre de l’Ecologie confirme avoir été approché par le groupe.