Elections 2013 : Mario Monti à la tête d’une coalition centriste et réformatrice

Le chef du gouvernement démissionnaire italien, Mario Monti, a précisé un peu plus ses intentions futures en annonçant, vendredi, qu’il acceptait désormais d’être le chef de file d’une coalition centriste et réformatrice lors des élections législatives anticipées (24-25 février 2013).

Dimanche dernier encore, Monti avait continué à entretenir le suspense autour de son avenir politique en se disant simplement "prêt à assumer un jour, si les circonstances le permettent, les responsabilités qui me seraient confiées par le Parlement".

La montée officielle en politique de Monti est intervenue après d’intenses entretiens avec des dirigeants des partis du centre, dont l’UDC des anciens démocrates-chrétiens, le FLI (Futur et Liberté, du président de la chambre des députés, Gianfranco Fini), des associations catholiques et des personnalités du monde de l’entreprenariat, rassemblés autour de son agenda "Changer l’Italie, réformer l’Europe".

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