A une vingtaine de kilomètres de la mine de sel de Gorleben, destination finale du dernier convoi de déchets nucléaires allemands retraités en France, un collectif d’associations écologistes voulait rappeler que la sortie programmée de l’Allemagne du nucléaire n’a pas encore réglé la question des résidus, rapportent les agences de presse.
Quelque 8.000 opposants étaient sur place en milieu d’après-midi selon la police, 23.000 selon les organisations écologistes. Près de 20.000 policiers ont été mobilisés dans toute l’Allemagne pour protéger le convoi.