Washington reconnaît un « effet » WikiLeaks

Certaines chancelleries se montrent moins coopératives avec les Etats-Unis depuis les révélations de WikiLeaks, qui pourraient avoir un effet durable sur la diplomatie américaine, a-t-on reconnu mardi à Washington.

La secrétaire d’Etat Hillary Clinton a assuré à plusieurs reprises que la divulgation de 250.000 notes de son ministère n’affecterait pas les relations extérieures des Etats-Unis, malgré leur caractère parfois embarrassant.

Au Pentagone comme au département d’Etat, cet avis ne semble toutefois plus d’actualité. "Nous avons des indications qui montrent au moins des changements dans la manière dont les individus et les gouvernements coopèrent avec nous et partagent leurs informations", a reconnu le colonel Dave Lapan, porte-parole du département de la Défense.

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