Trente-et-un enseignants, 475 élèves et 21 autres personnes identifiées comme ayant pu se trouver dans l’établissement au moment des faits sont concernés par ces prélèvements buccaux qui seront effectués de lundi à mercredi.
Agressée dans le noir, la victime n’a pas pu donner de descriptions précises de son agresseur mais l’examen de ses vêtements a permis de trouver un profil ADN masculin, inconnu au fichier national des empreintes génétiques, a précisé la source judiciaire.
Les personnes concernées peuvent légalement refuser le prélèvement. Les résultats des analyses devraient être connus dans un mois environ.