"J’ai dormi comme un bébé, je n’ai aucun problème de conscience", a-t-il affirmé sur Twitter, ajoutant être "frais et reposé".
L’accusé, qui s’est défendu seul pendant son procès, doit même organiser une conférence de presse après le jugement, à Belgrade, où il réside depuis sa mise en liberté provisoire en 2014 pour "raisons de santé".
L’homme, connu pour sa violence verbale pendant les guerres qui ont déchiré l’ex-Yougoslavie pendant les années 90, est accusé de neuf crimes de guerre et crimes contre l’humanité pour avoir "propagé une politique visant à réunir tous +les territoires serbes+ dans un État serbe homogène, qu’il appelait la +Grande Serbie+".