En échange de l'aide de trois milliards d'euros qui lui a été allouée par l'Union européenne, la Turquie doit "prendre des engagements par rapport à la lutte contre les passeurs" et procéder à des réadmissions d'"un certain nombre de migrants qui sont partis de Turquie" vers l'Europe, a déclaré M. Hollande à son arrivée à un sommet extraordinaire UE-Turquie.
"Il doit y avoir aussi une sécurité sur la frontière entre la Turquie et la Grèce en mer Egée" et puis "il y a aussi l'aide qu'il faut prodiguer à la Grèce" car c'est elle "qui aujourd'hui est notre frontière extérieure et accueille les réfugiés", a-t-il ajouté.
"Le plan est simple à annoncer, difficile à mettre en oeuvre : c'est sécurité des frontières extérieures, coopération avec la Turquie et solidarité avec la Grèce, et c'est ce que la France va défendre comme position", a résumé le chef de l'Etat français.
Interrogé par aileurs sur la mise sous tutelle du quotidien turc à gros tirage Zaman, très critique envers le président islamo-conservateur Recep Tayyip Erdogan, M. Hollande a averti que "la coopération avec la Turquie ne veut pas dire qu'on accepte tout" de ce pays.
"Nous devons être d'une extrême vigilance (...) par rapport à certaines mesures qui ont été prises. La presse doit être libre partout et notamment en Turquie", a-t-il plaidé.
"Il doit y avoir aussi une sécurité sur la frontière entre la Turquie et la Grèce en mer Egée" et puis "il y a aussi l'aide qu'il faut prodiguer à la Grèce" car c'est elle "qui aujourd'hui est notre frontière extérieure et accueille les réfugiés", a-t-il ajouté.
"Le plan est simple à annoncer, difficile à mettre en oeuvre : c'est sécurité des frontières extérieures, coopération avec la Turquie et solidarité avec la Grèce, et c'est ce que la France va défendre comme position", a résumé le chef de l'Etat français.
Interrogé par aileurs sur la mise sous tutelle du quotidien turc à gros tirage Zaman, très critique envers le président islamo-conservateur Recep Tayyip Erdogan, M. Hollande a averti que "la coopération avec la Turquie ne veut pas dire qu'on accepte tout" de ce pays.
"Nous devons être d'une extrême vigilance (...) par rapport à certaines mesures qui ont été prises. La presse doit être libre partout et notamment en Turquie", a-t-il plaidé.
