Ledit rapport qui classe l’Algérie à la 118ème place sur 167 pays examinés. Ce classement est le résultat d’une moyenne de notes accordées à l’état du pluralisme et du processus électoral, au fonctionnement du gouvernement, à la politique de participation à la vie publique, au niveau de la culture politique et aux libertés civiles. Les tentatives des tenants du pouvoir de faire figure de bon élève auprès de l’opinion internationale ne tiennent guère la route, continuant ainsi à récolter un bien maigre indice de démocratie.
Ceci traduit, on ne peut mieux, que les pseudo-réformes politiques ne sont qu’un écran de fumée, car aucun changement de la situation politique n’est palpable à ce jour.