En première instance, le frère du jihadiste toulousain avait été condamné à 20 ans de réclusion pour association de malfaiteurs terroriste, mais été acquitté du chef de "complicité", la cour ayant estimé qu’aucun élément ne montrait qu’il "connaissait les objectifs visés et les crimes commis par son frère".
"Un mentor et un virtuose de la dissimulation": l’accusation a requis mardi en appel la réclusion criminelle à perpétuité contre Abdelkader Merah, estimant qu’il était "complice" des sept assassinats perpétrés par son frère Mohamed en mars 2012 à Toulouse et Montauban.
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