Cette levée, à effet immédiat, ne concerne que cette enquête. Et non pas celle sur des soupçons d’emplois fictifs d’assistants de députés de son parti, le Front national, au Parlement européen, dans laquelle la responsable de cabinet de Mme Le Pen, candidate du Front national à la présidentielle, a été mise en examen.
Le Parlement européen a approuvé, jeudi 2 mars, la levée de l’immunité parlementaire de la dirigeante d’extrême droite Marine Le Pen, réclamée par la justice française, qui lui reproche d’avoir diffusé sur son compte Twitter des images d’exactions de l’organisation Etat islamique.