"Nicolas Sarkozy a accepté le principe de faire un certain nombre de conférences, comme tous les anciens chefs de l’État au gouvernement, monsieur Tony Blair, par exemple. Il a accepté le principe mais s’agissant de celle de Morgan Stanley, je ne sais pas".
"Ce qui est en cause c’est que ses propos intéressent. Les propos qu’il pourra tenir à cette occasion seront de nature à marquer la réflexion politique pour la France et pour notre temps", a-t-il ajouté.