
Cette annonce fait écho à sa confidence glissée en janvier à plusieurs journalistes lors d'un déplacement en Guyane. «En cas d'échec j'arrête la politique. Oui, c'est une certitude», citait à l'époque Le Monde. «J'ai 56 ans, j'aurais été président, après, vous voulez que je fasse quoi? Que j'organise une section UMP? Non, je changerai de vie. Complètement. Vous n'entendrez plus parler de moi. Pour faire des choix heureux, il ne faut pas les faire à moitié», citait de son côté Le Figaro. Ce n'est pas la première fois que Nicolas Sarkozy évoque son retrait de la politique. En 2008, le président aurait déclaré, selon Le Point : «moi, en 2012, j'aurai 57 ans, je ne me représente pas».
Selon un sondage établi par l'Ifop et publié par Paris-Match, la majorité des Français, à 46 jours du premier tour de la présidentielle, continue à ne pas trouver « chaussure à son pied ». L'enquête a été réalisée les 1er et 2 mars auprès d'un échantillon national représentatif de 1005 personnes âgées de 18 ans et plus.
Près de 2/3 des Français (64%) « désapprouvent » l'action du président de la République, contre 36% d'un avis contraire. Les plus critiques : les ouvriers (79%), les cadres supérieurs et les professions libérales (72%), les 50-64 ans (71 %).
Mais quand l'Ifop demande aux personnes interrogées si l'actuelle opposition, une fois au pouvoir, ferait mieux ou non, 60% des sondés (+3%) répondent : « Elle ne ferait pas mieux ».
Selon un sondage établi par l'Ifop et publié par Paris-Match, la majorité des Français, à 46 jours du premier tour de la présidentielle, continue à ne pas trouver « chaussure à son pied ». L'enquête a été réalisée les 1er et 2 mars auprès d'un échantillon national représentatif de 1005 personnes âgées de 18 ans et plus.
Près de 2/3 des Français (64%) « désapprouvent » l'action du président de la République, contre 36% d'un avis contraire. Les plus critiques : les ouvriers (79%), les cadres supérieurs et les professions libérales (72%), les 50-64 ans (71 %).
Mais quand l'Ifop demande aux personnes interrogées si l'actuelle opposition, une fois au pouvoir, ferait mieux ou non, 60% des sondés (+3%) répondent : « Elle ne ferait pas mieux ».