"Il pourrait y avoir une ouverture parce que certains Etats arabes approuvent en silence (ma position)", a déclaré mardi le Premier ministre israélien lors de la conférence annuelle sur la politique internationale organisée à Herzliya, près de Tel Aviv.
Ces pays arabes, a-t-il ajouté, "pourraient être en mesure d’avoir une influence sur les Palestiniens, afin que ceux-ci adoptent une approche plus positive et plus conciliante".