"C’est un acte scandaleux qui ne saurait être toléré", a déclaré à la presse le chef du gouvernement. Le ministre de la Défense Gen Nakatani avait auparavant indiqué que le missile était tombé en mer du Japon, dans la Zone économique exclusive (ZEE) de l’archipel, ce qui n’était pas survenu depuis 1998.
afp