Maroc: la DGAPR dément avoir injecté une substance dolorigène à Nasser Zefzafi

la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la Réinsertion (DGAPR) a démenti les allégations selon lesquelles Nasser Zefzafi, incarcéré dans la prison locale Ain Sebaa 1 dans le cadre des événements d’Al Hoceima, aurait subi une injection d’une substance dolorigène.

Il s’agit, ni plus ni moins, de "propos insensés montés de toute pièce, qui sont le pur produit de l’imagination débile des parties qui les ont colportés et commentés en même temps comme s’il s’agissait de faits réels", a indiqué la DGAPR dans un communiqué publié en réponse à ces allégations diffusées sur des réseaux sociaux.

Contrairement aux pratiques et aux méthodes irresponsables adoptées par lesdites parties, qui prétendent prendre la défense de l’intéressé et des autres détenus poursuivis dans le cadre de la même affaire, l’administration de l’établissement réserve aux pensionnaires un traitement responsable et conforme à la loi et ne peut, en aucun cas, mettre en danger la vie de l’un de ses pensionnaires ni lui infliger un traitement qui va à l’encontre de la loi, assure la même source.

En propageant de tels mensonges, lesdites parties montrent clairement qu’elles n’hésitent pas à user de tous les moyens, aussi bas soient-ils, pour porter atteinte à la crédibilité de l’établissement, en vue de servir, à l’insu même des détenus, des agendas subversifs qui n’ont rien à voir avec les intérêts de ces derniers, déplore la DGAPR.

Et d’affirmer que le détenu en question, qui est traité d’une manière tout à fait normale, se trouve en bon état de santé, ne suit aucun traitement médical et n’est même pas au courant des mensonges proférés à son sujet.

Tout en dénonçant l’attitude de ces parties qui s’obstinent à induire en erreur l’opinion publique et à vouloir nuire à la réputation de cet établissement placé sous la tutelle de l’Etat, en colportant des mensonges au sujet des pensionnaires en question, l’administration de l’établissement met en garde lesdites parties contre les conséquences graves de telles allégations fallacieuses et des pratiques séditieuses dont elles usent pour servir des agendas pour le moins suspects.

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