Dans une interview publiée par l’hebdomadaire «Le Reporter», M. Mezouar a indiqué que les différents partis membres de l’alliance ont travaillé de manière à ce que le projet se positionne comme un projet de société qui s’inscrive dans la durée, et de manière à garder l’autonomie nécessaire pour que chaque parti puisse agir dans le sens partisan, tout en respectant ce socle commun que sont la plateforme commune et le programme commun.
"Je comprends que notre initiative ait tellement déstabilisé", a-t-il dit, ajoutant que "nous avons initié un vrai processus politique et cassé des schémas préétablis dans l’intérêt national et dans l’intérêt de la démocratie et du citoyen d’une manière générale".
S’agissant du programme commun de l’alliance, M. Mezouar a souligné qu’il s’agit de trois défis majeurs que sont la dignité, la confiance et l’essor économique.
L’alliance a également défini une vingtaine de mesures qui vont résumer pour chaque cap quelles sont les priorités, de manière simplifiée, en clarifiant le discours vis-à-vis du citoyen, a-t-il expliqué.