Mardi en conférence de presse, Mr. El Omari a évoqué une décision "individuelle" et "indépendante", qui n’a "aucune relation avec ce qui se passe à Al-Hoceïma", mais qui se justifie par "le non-respect" de certains élus du PAM des "orientions" du parti et des "engagements pris envers les électeurs", se présentant lui-même comme le "premier responsable".
"Les parlementaires s’absentent des sessions et des travaux des commissions de façon délibérée. Quant aux PAMistes présents dans les communes, ils ne respectent pas le pacte d’honneur. J’ai dit qu’ils ne devaient pas rendre des comptes seuls et qu’en tant que secrétaire général, je suis responsable de les avoir accrédités à la veille des élections", explique-t-il.
Un communiqué du PAM avait indiqué qu’après une discussion approfondie, "les membres du bureau politique ont convenu à l’unanimité de rejeter cette décision prise de manière unilatérale par le Secrétaire général", ajoutant que face à l’insistance de M. El Omari, le bureau politique a décidé de soumettre cette décision à l’avis du Conseil national du parti.