Cité samedi par la presse locale, le porte-parole des gardes communaux Aliouet Lahlou a affirmé que leurs doléances "demeurent pour leur majorité insatisfaites, contrairement à ce que les pouvoirs publics distillent comme acquis qui auraient été concédés" aux gardes communaux.
"Que tous ceux qui veulent liquider ce corps sachent que ce dernier a payé fortement son combat contre l’hydre islamiste avec près de 4.500 de nos camarades tombés sous les balles des ennemis de la nation, ceci sans compter les nombreux autres collègues traînant des blessures et des séquelles indélébiles+, a ajouté Aliouet Lahlou cité par +Le Soir d’Algérie+.
La marche du 18 février sera ponctuée d’un sit-in devant le siège de l’Assemblée populaire nationale (Chambre basse du parlement), ajoute le journal.
Les gardes communaux réclament, entre autres revendications, la mise en place d’un statut de police communale, l’augmentation des salaires et des pensions de retraites et la prise en charge de ceux qui souffrent de maladies chroniques.