
Le premier centre de réinsertion pour personnes radicalisées ou susceptibles de basculer dans le djihadisme sera mis en place cet été, a-t-il fait savoir lors d’un point de presse à l’issue d’une réunion du comité interministériel pour la prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR).
Doté d’une enveloppe de 40 millions d’euros supplémentaires d’ici 2018, ce plan de cinquante nouvelles mesures vise à doubler en deux ans les capacités de prise en charge des jeunes actifs dans les réseaux djihadistes ou susceptibles de rejoindre leurs rangs. Afin de mieux coordonner la création et le fonctionnement des structures prévues par ce plan, une cellule nationale de coordination et d’appui à l’action des préfets, des départements et des associations va être créée au sein du CIPDR, a expliqué le Premier ministre français, précisant que le comité interministériel se dotera également d’un "conseil scientifique permanent sur la radicalisation et le terrorisme" destiné à encourager la recherche, et attribuera des bourses universitaires dans ce domaine.
Ce conseil scientifique pourrait coordonner un réseau de recherche et renforcer les liens entre chercheurs et fonctionnaires de l’antiterrorisme, a-t-il dit.
Doté d’une enveloppe de 40 millions d’euros supplémentaires d’ici 2018, ce plan de cinquante nouvelles mesures vise à doubler en deux ans les capacités de prise en charge des jeunes actifs dans les réseaux djihadistes ou susceptibles de rejoindre leurs rangs. Afin de mieux coordonner la création et le fonctionnement des structures prévues par ce plan, une cellule nationale de coordination et d’appui à l’action des préfets, des départements et des associations va être créée au sein du CIPDR, a expliqué le Premier ministre français, précisant que le comité interministériel se dotera également d’un "conseil scientifique permanent sur la radicalisation et le terrorisme" destiné à encourager la recherche, et attribuera des bourses universitaires dans ce domaine.
Ce conseil scientifique pourrait coordonner un réseau de recherche et renforcer les liens entre chercheurs et fonctionnaires de l’antiterrorisme, a-t-il dit.