
La préfecture de police de Paris avait annoncé dans la journée qu'elle interdisait, pour des raisons de sécurité, la manifestation prévue jeudi à Paris contre la loi Travail.
"Les organisations syndicales et de jeunesse ont obtenu le droit de manifester à Paris le 23 juin sur un parcours proposé par le ministre de l'Intérieur, ainsi que l'autorisation de manifester le 28 juin selon des modalités à discuter avec la préfecture", a précisé M. Martinez lors d'une conférence de presse à l'issue d'une réunion de l'intersyndicale (FO, CGT, FSU, Solidaires, Unef, Unl, Fidl).
Le cortège devrait néanmoins parcourir un trajet bien plus court que prévu (environ 1,6 kilomètre), depuis la place de la Bastille jusqu'au bassin de l'Arsenal.
Le patron de la CGT a par ailleurs appelé le président François Hollande à réunir très rapidement les syndicats au sujet de la loi Travail, pour "sortir de l'impasse".
Dans un communiqué, la préfecture de police avait réitéré ses réserves quant à la tenue de cette manifestation, au regard des "fortes sollicitations pesant sur les forces de l'ordre depuis plusieurs mois, des dispositifs de sécurisation renforcée liés à la tenue de l'Euro et de la prégnance de la menace terroriste".
A noter que de précédentes manifestations contre la loi Travail ont été émaillées de violences et des scènes de vandalisme, faisant de nombreux blessés, y compris parmi les forces de l’ordre, et conduisant à plusieurs arrestations.
"Les organisations syndicales et de jeunesse ont obtenu le droit de manifester à Paris le 23 juin sur un parcours proposé par le ministre de l'Intérieur, ainsi que l'autorisation de manifester le 28 juin selon des modalités à discuter avec la préfecture", a précisé M. Martinez lors d'une conférence de presse à l'issue d'une réunion de l'intersyndicale (FO, CGT, FSU, Solidaires, Unef, Unl, Fidl).
Le cortège devrait néanmoins parcourir un trajet bien plus court que prévu (environ 1,6 kilomètre), depuis la place de la Bastille jusqu'au bassin de l'Arsenal.
Le patron de la CGT a par ailleurs appelé le président François Hollande à réunir très rapidement les syndicats au sujet de la loi Travail, pour "sortir de l'impasse".
Dans un communiqué, la préfecture de police avait réitéré ses réserves quant à la tenue de cette manifestation, au regard des "fortes sollicitations pesant sur les forces de l'ordre depuis plusieurs mois, des dispositifs de sécurisation renforcée liés à la tenue de l'Euro et de la prégnance de la menace terroriste".
A noter que de précédentes manifestations contre la loi Travail ont été émaillées de violences et des scènes de vandalisme, faisant de nombreux blessés, y compris parmi les forces de l’ordre, et conduisant à plusieurs arrestations.