"Des pays arabes frères, malheureusement, financent et parrainent la sédition qui s’est produite dans l’Est pour ne pas être contaminés par la révolution", a affirmé Moustapha Abdeljalil, président du Conseil national de transition au pouvoir, lors d’une conférence de presse à Tripoli.
Le chef du nouveau pouvoir libyen a accusé mardi certains pays arabes de soutenir la "sédition", faisant référence à l’autonomie proclamée dans la matinée par des chefs de tribus et de milices de l’Est de la Libye.