"Les plus grandes démocraties se réfèrent dans leurs estimations des résultats des suffrages aux indicateurs issus des sondages d’opinion et rien n’empêche les médias tunisiens à emboîter le pas aux médias de ces pays, ce qui constitue un droit légitime", a-t-il relevé.
Il a fait remarquer que la HAICA avait, préalablement, avisé l’instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) de ce vide juridique, mettant l’accent sur "l’absence de tout fondement juridique pour les plaintes déposées à l’encontre des médias exploitant les résultats des sondages d’opinion", a-t-il soutenu.