Selon les estimations de ce "think-tank" réputé libéral, les recettes et les économies sur les dépenses seraient surestimées d’environ 20% dans le programme du président sortant.
Ainsi, la poursuite du non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux, élément phare du projet du candidat UMP, permettrait de réaliser une économie de 4 milliards d’euros à l’horizon 2017, au lieu des 7 milliards annoncés par Nicolas Sarkozy, affirme notamment l’Institut Montaigne.
L’Institut était arrivé le mois dernier à la conclusion que le programme du candidat socialiste à l’élection présidentielle, François Hollande, était lui aussi sous-chiffré.