"Les officiers des renseignements algériens présents à Beyrouth avaient bien préparé leur coup. Ils avaient réussi à glisser des éléments du Polisario, munis de passeports algériens, pour participer au 17ème BIFF avec un film documentaire", relate le site, avant de souligner que "Les organisateurs du festival l’avaient programmé dans la catégorie du documentaire avant de le déprogrammer suite à l’alerte donnée par les autorités libanaises".
La manœuvre a été avortée, indique le site droitshumains.org, notant que "l’astuce consistant pour la diplomatie algérienne à glisser des éléments du Polisario dans ses délégations diplomatiques à l’étranger en leur fournissant des passeports algériens est visiblement passée de mode".
Très rares sont aujourd’hui les pays qui acceptent encore de se prêter à ce petit jeu, par le biais duquel l’Algérie présente comme tout à fait fréquentable le Polisario. , un vestige de l’époque de la guerre froide, ajoute le site.