Dénonçant une "inégalité scandaleuse de traitement médiatique des candidats", Hérvé Morin reconnaît qu’il était loin d’avoir les 500 signatures nécessaires pour se présenter. "Je n’en étais qu’à 280", affirme-t-il.
Le secrétaire général de l’UMP, Jean-François Copé, a salué la nouvelle du retrait d’Hervé Morin jeudi matin sur Europe 1, soulignant qu’en ces "temps difficiles, notre famille politique a besoin d’être rassemblée" autour de Nicolas Sarkozy.