"L’amas ardent", publié aux éditions Elyzad, est le troisième roman de cet écrivain de 37 ans qui réside à Paris.
"Dans cette fable aux accents voltairiens, un apiculteur défend ses abeilles contre une secte de frelons particulièrement agressive. Avec humour et une écriture limpide, l’auteur nous en apprend davantage sur les pulsions meurtrières des fous de Dieu que bien des discours", a déclaré Paula Jacques, femme de radio et de lettres, présidente du jury.
Le prix, doté de 10.000 euros, sera officiellement remis à Yamen Manai le 11 octobre à la Foire du livre de Francfort Allemagne).
Créé en 2001 par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), le prix avait récompensé l’an dernier l’écrivaine et journaliste tunisienne Fawzia Zouari.
Atlasinfo avec AFP