L’envoyé spécial des Nations unies pour la Syrie, Staffan de Mistura, a précisé que ces "entretiens de proximité" avaient formellement débuté par sa rencontre avec une délégation de l’opposition.
S’adressant à la presse, il a dit comprendre l’inquiétude des opposants face à la situation humanitaire en Syrie et a invité le gouvernement de Damas à libérer les femmes et les enfants qu’il détient afin de "montrer qu’il se passe quelque chose".
Staffan de Mistura a souligné que négocier une trêve ne faisait pas partie de ses attributions et il a dit avoir rappelé aux puissances internationales qu’elles s’étaient engagées à aborder ce sujet dès l’ouverture des pourparlers.
Ceux-ci doivent se dérouler de manière indirecte, avec les délégations de chaque camp réunies dans des pièces séparées.
Staffan de Mistura a indiqué qu’il rencontrerait à nouveau mardi l’opposition ainsi que la délégation gouvernementale.