Justice sera rendue aux victimes de l’attentat de Marrakech

Grace à son professionnalisme, sa patience dans ses investigations et à sa discrétion, les membres de la Direction Générale de la Surveillance du Territoire du Maroc ont réussi à mettre la main sur trois ressortissants marocains, auteurs de l’attentat de Marrakech.

Ces trois individus, dont le cerveau de l’attentat, ont été interpellés, ce jeudi 05 mai 2011, dans la ville côtière de Safi.

‎ Tous avaient des antécédents sécuritaires et étaient connus pour avoir participé au recrutement de combattants pour l’Irak. Le chef de cette cellule, imprégné de l’idéologie jihadiste et ayant fait allégeance à l’organisation Al Qaeda, avait déjà entrepris plusieurs tentatives pour rejoindre certains foyers de tension notamment en Tchétchénie et en Irak pour décider par la suite de perpétrer un acte terroriste à l’intérieur du Maroc.

Dans cet objectif il s’est initié à la fabrication d’explosifs sur Internet et mis au point deux engins explosifs, commandés à distance qu’il avait acheminés à Marrakech. Selon les premiers éléments de l’enquête, son choix s’est porté sur le café Argana, espace qui connaît une affluence de touristes marocains et étrangers, et où il avait accédé en se faisant passer pour un touriste.

Par ailleurs, il n’est pas inutile de rappeler que le Ministre marocain de la Communication, Porte-Parole du Gouvernement avait assuré que « l’opinion publique marocaine sera informée à temps, en toute transparence des résultats des investigations et que celles-ci se poursuivent sous la supervision du parquet général près la cour d’appel de Marrakech, avec le sens de professionnalisme requis » et ce, conformément aux Hautes Instructions de Sa Majesté Le Roi Mohammed VI.

Enfin, Le Royaume du Maroc, grâce à la haute compétence de ses forces de sécurité intérieures et extérieure, vient de donner une belle leçon à la presse française qui supputait depuis hier sur une pseudo arrestation, au risque de faire échouer un travail sécuritaire qui demande discrétion. Des informations erronées, même au conditionnel, et relayées par un ministre français.

Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte Lire la suite