Israël nie son implication dans une cyberattaque liée à l’Iran

Une vice-ministre israélienne a jugé infondées, jeudi, les rumeurs d’implication d’Israël dans un piratage informatique qui aurait, selon le groupe de sécurité informatique russe Kaspersky Lab, visé trois hôtels de luxe européens où se sont tenues des discussions internationales entre l’Iran et le groupe P5+1.

Selon Kaspersky et l’américain Symantec, autre société de sécurité informatique, le virus répéré dans les hôtels partageait des similitudes avec le logiciel d’espionnage Duqu, développé par Israël d’après les experts en cybersécurité.

Le P5+1 réunit les Etats-Unis, la Chine, la Russie, la France, la Grande-Bretagne, les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies, et l’Allemagne.

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