Le ministre n’a pas précisé si ces divergences étaient avec les Etats-Unis ou s’il visait l’Iran. Elles "doivent être comblées" et "il y a encore du travail" à faire, a-t-il ajouté après un entretien avec son homologue américain John Kerry, dont vingt minutes en tête-à-tête dans son bureau du Quai d’Orsay.
Le chef de la diplomatie française Laurent Fabius a affirmé samedi que "des progrès" avaient été réalisés dans les négociations sur le programme nucléaire iranien mais il a souligné qu’il y avait "aussi des divergences".