Les Grecs, selon le texte de la proposition, devront dire « oui » ou « non » au projet d’accord présenté par la Commission européenne, la BCE et le FMI à l’Eurogroupe du 25 juin. Mais la question semble désormais caduque puisque les créanciers, dans un élan de fermeté, ont déclaré samedi que le plan d’aide actuel à la Grèce, dans lequel s’inscrit la proposition, ne serait pas prolongé au-delà de mardi.
Près de 2.000 personnes, majoritairement des sympathisants d’extrême gauche, se sont rassemblées devant le parlement à Athènes dimanche soir pour demander aux Grecs de voter le 5 juillet contre les mesures soumises au gouvernement d’Alexis Tsipras par les créanciers.
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