Ce niveau est généralement considéré comme étant celui à partir duquel est constatée une augmentation du risque de cancer, même s’il n’y a pas de seuil fixé absolument identique pour tous les individus.
Tepco a reconnu ces risques après avoir révisé plus tôt ce mois-ci sa méthode d’estimation du niveau d’exposition aux radiations des travailleurs. Le ministère de la Santé avait fait part de doutes sur les critères initialement pris en compte et sur les estimations antérieures. Il avait demandé à la compagnie de les revoir dans un sens moins restrictif. La méthode précédente n’évaluait le risque accru que pour 178 personnes ayant oeuvré à Fukushima Daiichi, selon le rapport fourni à l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).