«Christian Flaesch est un grand flic, c’est un très grand professionnel», a déclaré Manuel Valls. «Ca fait six ans et demi qu’il est à la tête de la PJ, donc il est par ailleurs normal qu’à un moment ou à un autre, il soit remplacé», a-t-il ajouté. «Christian Flaesch sera remplacé dans les heures ou dans les jours qui viennent. Je regrette qu’il ait commis cette faute, parce que c’est une faute, c’est une faute de déontologie d’avoir choisi d’informer l’ancien ministre de l’Intérieur», a dit Manuel Valls.
«Le choix (de son remplaçant) est fait», a-t-il indiqué, sans vouloir en préciser davantage. Le ministre de l’Intérieur a souligné que «pendant des années, (il y a eu) certaines conceptions de la politisation de la police. Ca n’est évidemment absolument pas ma règle, c’est même une question d’éthique. Il faut choisir des hommes ou des femmes à la tête de la police comme de la gendarmerie, qui aient d’abord les compétences.»
Un nouveau patron de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) doit par ailleurs être nommé mercredi en conseil des ministres. Manuel Valls a refusé sur Europe 1 d’en dévoiler le nom, sans démentir qu’il pourrait s’agir de Mireille Ballestrazzi, présidente d’Interpol depuis un an.
«Le choix (de son remplaçant) est fait», a-t-il indiqué, sans vouloir en préciser davantage. Le ministre de l’Intérieur a souligné que «pendant des années, (il y a eu) certaines conceptions de la politisation de la police. Ca n’est évidemment absolument pas ma règle, c’est même une question d’éthique. Il faut choisir des hommes ou des femmes à la tête de la police comme de la gendarmerie, qui aient d’abord les compétences.»
Un nouveau patron de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) doit par ailleurs être nommé mercredi en conseil des ministres. Manuel Valls a refusé sur Europe 1 d’en dévoiler le nom, sans démentir qu’il pourrait s’agir de Mireille Ballestrazzi, présidente d’Interpol depuis un an.