« Au moment où chaque jour qui passe il y a un plan social nouveau qui arrive sur la table du gouvernement, on en est à organiser des manœuvres de diversion avec le droit de vote des étrangers, avec des tripatouillages électoraux », a dénoncé M. Jacob sur Europe 1.
« Parce qu’il (Jean-Marc Ayrault) est incapable d’apporter des réponses sur le coût du travail, sur la compétitivité des entreprises et des réponses aux salariés menacés de plans sociaux, on essaie d’occuper l’espace politique », a-t-il insisté.
« Je veux bien rencontrer le Premier ministre sur ce sujet mais il connaît ma position et je connais la sienne (…) Ouvrir ce débat clivant ne peut être interprété que comme une manœuvre de diversion », a conclu le député de Seine-et-Marne.