Pense-t-il être mis en examen ? "Juridiquement, je ne vois pas comment ça peut se produire. On serait dans une quasi voie de fait", a argué M. Fillon devant des journalistes, alors qu'il avait réitéré dans le Journal du Dimanche son engagement à se retirer en cas de mise en examen.
Selon le candidat de la droite à la présidentielle, "depuis le début, l'option est claire : éliminer le candidat légitimé par la primaire" de la droite.
"Il y a un problème judiciaire absolument considérable", a-t-il assuré à propos de l'autosaisine de cette affaire par le Parquet national financier (PNF), dont ses avocats contestent la "légitimité" dans ce cas de figure.
"Ca pose un problème institutionnel si la justice peut aller jusqu'à contrôler la nature du travail parlementaire !", a également affirmé M. Fillon.
L'ex-Premier ministre estime être visé "par une injustice profonde".
"Je suis parlementaire depuis 1981. Beaucoup de parlementaires travaillaient avec leur famille. J'ai peut-être pris plus de temps que d'autres à prendre la mesure de la défiance que ça suscitait chez les Français", a-t-il concédé.
Le PNF a indiqué dimanche qu'"aucune décision n'(était) prise à ce stade de l'enquête" et qu'"aucun calendrier (n'était) fixé à ce jour".
Avec AFP
Selon le candidat de la droite à la présidentielle, "depuis le début, l'option est claire : éliminer le candidat légitimé par la primaire" de la droite.
"Il y a un problème judiciaire absolument considérable", a-t-il assuré à propos de l'autosaisine de cette affaire par le Parquet national financier (PNF), dont ses avocats contestent la "légitimité" dans ce cas de figure.
"Ca pose un problème institutionnel si la justice peut aller jusqu'à contrôler la nature du travail parlementaire !", a également affirmé M. Fillon.
L'ex-Premier ministre estime être visé "par une injustice profonde".
"Je suis parlementaire depuis 1981. Beaucoup de parlementaires travaillaient avec leur famille. J'ai peut-être pris plus de temps que d'autres à prendre la mesure de la défiance que ça suscitait chez les Français", a-t-il concédé.
Le PNF a indiqué dimanche qu'"aucune décision n'(était) prise à ce stade de l'enquête" et qu'"aucun calendrier (n'était) fixé à ce jour".
Avec AFP