Les juges luxembourgeois ont également validé une saisie-arrêt sur les contrats d’assurance-vie de l’artiste auprès d’une entreprise liée à la banque islandaise pour s’assurer du recouvrement des 30 millions d’euros à la liquidatrice de la banque.
En juillet 2007, Enrico Macias et son épouse, aujourd’hui décédée, avaient contracté un prêt auprès de Landsbanki, garanti par deux biens immobiliers, dont la villa du chanteur à Saint-Tropez.
Il s’agissait d’un prêt de type "Equity release", consistant à mettre en garantie un ou des biens immobiliers pour obtenir des liquidités utilisables librement, et dont le montant est déterminé par la valeur de ces biens.