Elus français en contradiction sur la question du Sahara marocain

Des représentants français en flagrant delit de contradiction sur la question du Sahara marocain

Le quotidien algérien El Watan, dans sa livraison de ce jour, 26 avril 2011, affirme qu’une délégation d’élus français ont transmis une lettre au président français, Nicolas Sarkozy, dans laquelle il est écrit, et je reprends la partie de l’article publié à cet effet : en appelant à "l’engagement indéfectible" du président français pour "le respect et la défense des droits humains conformément aux valeurs universelles de la République française", ces élus ont relevé que les Sahraouis "considèrent toujours la France comme le pays des droits de l’homme et comptent sur notre soutien pour que leurs droits soient respectés et que le processus de décolonisation aboutisse". "Nous avons rencontré des Sahraouis vivant dans les territoires occupés qui ont été victimes de violations de leurs droits, emprisonnement arbitraires, sévices, tortures, viols…", ont-ils dénoncé dans leur lettre, ajoutant que plusieurs ONG dont Amnesty International font régulièrement état de violations des droits de l’homme au Sahara occidental.

Les représentants associatif et élus français ont également indiqué avoir constaté de visu les conditions de vie "précaires" des familles sahraouies qui vivent depuis 35 ans "dans le plus grand dénuement, privées de leur territoire et séparées des leurs par un mur militarisé de 2.500 km".

L’analyse du contenu de cette lettre est :

Ces élus affirment, je cite : "avoir rencontré des sahraouis vivant dans les territoires occupés qui ont été victimes de violations de leurs droits, emprisonnement arbitraires, sévices, tortures, viols." D’une chose, l’une :

1/ces représentants du peuple français les ont rencontré dans les camps de Tindouf, et dans cette affirmation, dans des territoires occupés par l’Algérie qui séquestre, viole, torture et bafoue les droits de l’homme une partie de la population marocaine et occupe donc illégalement une partie du territoire marocain,

2/ ces élus français se sont rendus dans les provinces sahariennes. Dans ce cas de figure, il y a mensonge avéré et diffusion de fausses informations, car tout simplement ils ne s’y sont pas rendus. La presse internationale l’aurait rapporté.

Par ailleurs, ces mêmes représentants associatif et élus français ont également indiqué avoir constaté de visu les conditions de vie « précaires » des familles sahraouies qui vivent depuis 35 ans « dans le plus grand dénuement, privées de leur territoire et séparées des leurs par un mur militarisé de 2.500 km ».

C’est tout à fait normal, les responsables du Polisario et leurs sponsors bien connus de tous ont trouvé dans ce conflit artificiel un moyen de s’enrichir sur le dos de cette population, opprimée, torturée, rendue à l’état d’esclavage et l’empêche de retrouver leur véritable pays qu’est le Maroc.

En conclusion, il serait humainement correcte d’inviter ces élus français à réflechir sérieusement à une solution pour amener les autorités algériennes à lui accorder enfin le droit à regagner librement leur pays qu’est le Maroc.

Les mercenaires et terroristes du Polisario, avec l’aide financière, diplomatique et repressive de leurs sponsors, tendent à induire en erreur la communauté internationale et à diffuser des fausses informations sur la question du Sahara Marocain pour mettre en échec le plan proposé par le Maroc et accepté par la communauté internationale.

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