Dominique Strauss-Kahn et Ségolène Royal se trouvent à Marrakech pour deux conférences distinctes

Dominique Strauss-Kahn et Ségolène Royal se trouvent à Marrakech pour deux conférences distinctes
Ségolène Royal, ancienne candidate malheureuse aux présidentielles de 2007, se trouve actuellement à Marrakech tout comme Dominique Strauss-Kahn, l’ancien directeur du Fonds monétaire internationale (FMI), malheureux pré-candidat à l’élection de 2012, ont animé séparément une conférence de niveau international dans la capitale touristique du royaume, a appris vendredi Atlasinfo des organisateurs.

Pas de risque de rencontre entre ces deux là. Il est de notoriété publique que Ségolène Royale a toujours détesté ce que représente DSK.

L’ancienne campagne du président français François Hollande a présidé les travaux de la réunion de l’Association internationale des régions francophones (AIRF), tenue dans la ville ocre du 8 au 11 mai autour du thème « Décentralisation et gouvernance régionale ».

Ségolène Royal y participe en sa double qualité de présidente de l’AIRF et de vice-président de la Banque publique d’investissement. Les participants à cette rencontre francophone doivent se déplacer vendredi à Tahanaoute, une province voisine qui œuvre pour le développement grâce notamment au travail d’ONG locales, soutenues par leurs homologues européennes.

Le programme de à Tahanaout est placé sous le symbole de « l’Articulation entre l’urbain et le rural ».

Dominique Strauss-Kahn et Ségolène Royal se trouvent à Marrakech pour deux conférences distinctes
Quant à l’ancien directeur général du FMI, il se trouvait lui à l’autre bout de Marrakech pour clôturer l’année scolaire de l’Université privée de Marrakech (UPM) dont les cycles de conférences 2012-2013 ont porté sur des journées économiques et financières.

Dans son exposé -prononcé devant une assistance passionnée et nombreuse, étudiants, chefs entreprises, hommes d’affaires et experts étrangers, Dominique Strauss-Khan a longuement évoqué la crise européenne, en privilégiant le fait que l’Europe vit une crise économique, pas une crise de l’euro.

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