Sur la quinzaine de produits que l’association a analysé, les trois quarts contiennent des traces de pesticides considérés comme des perturbateurs endoctriniens. En clair, ils agissent sur l’équilibre hormonal et ont donc des conséquences sur la croissance, le sommeil, la fonction de reproduction ou encore l’humeur par exemple.
Les résidus retrouvés dans ces aliments ne dépassent pas les limites maximales autorisées selon cette association, qui précise toutefois que ces substances, même à très faible dose, peuvent agir sur l’organisme. "Générations Futures" demande donc aux instances concernées d’interdire purement et simplement l’emploi de ces insecticides.