"Nous luttons contre l’islamisme politique qui laisse penser que la loi de Dieu est supérieure à celle de la République", a fait valoir sur France 2 le secrétaire d’Etat, en soulignant que cet "islamisme politique" ne devait pas être "confondu avec l’islam".
Il a précisé que dans une "quinzaine de quartiers", "un peu moins de 130 débits de boissons (129, selon le ministère) avaient été fermés, 12 lieux de culte, 4 écoles et 9 associations".
Le ministère de l’Intérieur a précisé auprès de l’AFP que ces fermetures étaient intervenues "depuis février 2018" et s’inscrivaient "dans un plan global de lutte contre l’islamisme politique".
C’est ainsi, a ajouté le ministère, qu’il a été procédé également à "2,5 millions d’euros de redressement" au titre de la Caisse d’allocations familiales (CAF) et à "12,2 millions de redressement" au titre de l’Urssaf (Union de recouvrement des cotisations de sécurité sociale et d’allocations familiales).