Pendant la séance des questions au gouvernement de ce mardi, l’élu a donc interpellé directement le ministre en l’accusant de «privilégier l’ombre» et de «nous ramener jour après jour à ces idéologies européennes qui ont donné naissance aux camps de concentration». Ce parallèle avec le «régime nazi», évoqué dans le brouhaha qui a suivi, a provoqué la colère dans les rangs de la majorité.
Dans la confusion, une grande partie des élus UMP et des membres du gouvernement, le premier ministre François Fillon en tête, ont quitté l’hémicycle.