Conformément aux réquisitions du parquet de Paris, les juges ont rendu jeudi un non-lieu dans ce dossier clos sans aucune inculpation, selon une source judiciaire. Révélées en 2015, les accusations avaient terni la réputation de l’armée française déployée dans le pays dans le cadre de l’opération Sangaris pour restaurer la sécurité après des mois de violences interconfessionnelles.
La justice française a ordonné un non-lieu dans l’enquête sur les accusations de viols en Centrafrique portées par des enfants contre des soldats français en 2013-2014, faute d’avoir pu établir leur implication, a appris lundi l’AFP de sources concordantes.