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Au lendemain d'une tentative ratée de coup d'Etat, le ministre des Affaires étrangères a affirmé à l'AFP qu'il n'y a "aucune présence militaire marocaine" au Gabon.
Des spéculations, dans certains médias, ont fait état de la présence de militaires marocains à Libreville, du fait de la présence en villégiature au Gabon du roi Mohammed VI.
Lundi matin à l'aube, une dizaine de militaires de la Garde républicaine (GR) ont tenté un coup de force en appelant sur les ondes de la RTG au soulèvement.
Mardi après-midi, le Premier ministre Emmanuel Issoze Ngondet, plusieurs membres du gouvernement, et des hauts gradés, se sont rendus à la Radio télévision gabonaise (RTG), théâtre de la tentative de putsch, lors d'une visite ministérielle en présence de la presse.
Cette tentative de putsch - condamnée unanimement par l'ONU, l'Union africaine, l'Union européenne et de nombreux pays africains - est quasi-inédite au Gabon, petit pays pétrolier d'Afrique centrale d'1,8 million d'habitants réputé stable.
Elle s'est déroulée en l'absence du président Ali Bongo Ondimba, qui se trouve hors du pays depuis deux mois et demi.
Victime d'un accident vasculaire cérébral (AVC) le 24 octobre en Arabie saoudite, M. Bongo, âgé de 59 ans et dont la famille est au pouvoir depuis 1967, a été transféré au Maroc, où il poursuit depuis sa convalescence.
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