
Ils ont passé en revue "la situation politique et économique européenne et latino-américaine", ainsi que "les perspectives pour le commerce international", selon le communiqué de presse.
"(Nicolas) Sarkozy a partagé avec (Mauricio) Macri son expérience des diverses réunions du G-20 auxquelles il a participé en tant que président de son pays", a ajouté la présidence.
L'ancien président français doit visiter vendredi l'Espace pour la mémoire et les droits de l'Homme, un musée situé dans l'ancien centre clandestin de détention de l'Ecole de mécanique de la marine (ESMA) dans la capitale argentine.
Plus de 5.000 prisonniers politiques ont été victimes de tortures à l'ESMA pendant la dictature militaire (1976-83). Seuls 150 d'entre eux environ ont survécu. Plus de 600 militaires et policiers ont été condamnés pour terrorisme d'Etat depuis 2003.
"La visite de l'ex-président français s'inscrit dans le cadre de la collaboration historique de la France avec des organismes et entités de défense des droits de l'Homme en Argentine, et de son intérêt personnel pour le processus Mémoire, vérité et justice" en Argentine, a indiqué le gouvernement.
La France a accueilli des milliers d'exilés et de personnes persécutées par la dictature argentine, et a soutenu les enquêtes sur les crimes politiques.
"(Nicolas) Sarkozy a partagé avec (Mauricio) Macri son expérience des diverses réunions du G-20 auxquelles il a participé en tant que président de son pays", a ajouté la présidence.
L'ancien président français doit visiter vendredi l'Espace pour la mémoire et les droits de l'Homme, un musée situé dans l'ancien centre clandestin de détention de l'Ecole de mécanique de la marine (ESMA) dans la capitale argentine.
Plus de 5.000 prisonniers politiques ont été victimes de tortures à l'ESMA pendant la dictature militaire (1976-83). Seuls 150 d'entre eux environ ont survécu. Plus de 600 militaires et policiers ont été condamnés pour terrorisme d'Etat depuis 2003.
"La visite de l'ex-président français s'inscrit dans le cadre de la collaboration historique de la France avec des organismes et entités de défense des droits de l'Homme en Argentine, et de son intérêt personnel pour le processus Mémoire, vérité et justice" en Argentine, a indiqué le gouvernement.
La France a accueilli des milliers d'exilés et de personnes persécutées par la dictature argentine, et a soutenu les enquêtes sur les crimes politiques.