ArcelorMittal pourrait annoncer à cette occasion l’arrêt définitif des deux hauts fourneaux de Florange, à l’arrêt depuis juillet et octobre 2011, et la fin des activités de la "phase à chaud", qui emploient 550 des 2.700 salariés du site.
Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a confirmé dimanche que si ArcelorMittal devait confirmer cette décision de fermeture, l’Etat lui donnerait deux mois "pour trouver une solution de reprise". Mais il a exclu toute idée de nationalisation en faisant valoir notamment que l’Etat "n’a pas d’argent".
Le comité central d’entreprise est convoqué à La Plaine-Saint-Denis, au siège d’Arcelor-Mittal France.